La malbouffe et le cancer
Un grand nombre d’Européens ont fait l’objet d’une étude concernant leur alimentation, la référence étant le système Nutri-Score. Ceux qui consommaient davantage d’aliments mal notés par la référence précitée développaient des cancers. Cette échelle présente correctement les indications à suivre. Comme conclusion, on a pu déterminer que le mode de vie influence beaucoup sur l’état de santé de chacun.
Les mauvaises habitudes et le cancer
Les habitués du tabac et de l’alcool ainsi que les adeptes d’une mauvaise alimentation et d’une vie sédentaire contractent toujours une maladie chronique. Toutefois, une bonne alimentation suffit-elle à éviter ces risques ? Et les informations sur chaque étiquette sont-elles fiables ? Le logo Nutri-Score note la qualité nutritionnelle de chaque aliment, sur une échelle de cinq couleurs, allant du vert au rouge et avec cinq lettres de A à E. Ce système se base sur une méthode d’une agence sanitaire britannique.
L’importance de la valeur nutritionnelle de chaque aliment
Les cas de cancer les plus fréquents chez les personnes étudiées concernent notamment les seins, la prostate et la partie colorectale. Ce sont les aliments les plus transformés qui provoquent le plus le cancer. Suivant le système FSAm-NPS, plus haut est le score de l’alimentation, plus il est de mauvaise qualité. La malbouffe procure immédiatement certains plaisirs. Or, elle engendre des effets néfastes sur la santé. Cette manie tue une personne toutes les deux minutes en France. La solution est fort simple : changer son attitude devant chaque nourriture.
Les bonnes habitudes à adopter
Afin d’éviter tout risque, il faut s’habituer à lire régulièrement les étiquettes de chaque produit à consommer. Cette pratique s’avère être bénéfique pour la santé et la perte de poids. Les industriels cherchent à prôner la consommation marketing au lieu de la valeur nutritionnelle. Leurs discours tendent à vendre leurs produits de la manière la plus rapide qui soit. Deux siècles auparavant, la consommation annuelle de sucre des Français était de 2,5 kg par an. Actuellement, ce chiffre est multiplié par dix. Or, les cellules cancéreuses se nourrissent essentiellement de cette substance pour se développer.